Un jour, en feuilletant frénétiquement les clichés érotiques de Luis Durante, je tombais sur ces vues de sa muse merveilleuses à la chatte incroyablement gonflée. Tout cela me laissait sans voix, je me demandais comment on pouvait avoir une vulve aussi dodue, et après quelques recherches découvrais la technique de La Pompe à Chatte (ou Pussy Pump).

Impressionné, je me lançais dans une quête effrénée sur le sujet, cherchant informations et images, me demandant comment moi, qui croyais tout connaître avait pu passer à coté de cela., c’était aussi énorme que ces chattes parfois monstrueusement gonflées. Rapidement, je tombais dans un univers insoupçonné, très développé outre-Rhin ou dans les pays anglo-saxons, mais bien peu connu en France et découvrais tout une série de films pornographiques (comme « Honey we blew up your pussy », ou la saga des « Monster Fotzen »).

















Cela faisait-t‘il mal, combien cela prenait-il de temps pour qu’une fille arriva à un tel résultat, y avait-il des risques, des contre-indications ? Je trouvais toutes sortes de réponses dans des forums anglo-saxons, mais quelques françaises ça et là livraient leurs sensations et leurs sentiments sur le sujet (http://forums.voissa.com/lofiversion/index.php/t27414.html par exemple) à priori indolore et hautement érotisant pour certains dont moi.

Attiré et excité par cette pratique féminine, j’étais tout de même un peu déçu, car pour les hommes, ces instruments que l’on nomme « développeurs » avaient réputation d’être totalement inefficaces, et même dangereux induisant des risques de flacidité et d’impuissance.

Par curiosité tout de même je me décidais à tester la pompe à bite. Non pas que j’aie besoin d’augmenter mes mensurations qui me satisfaisaient jusqu’à présent, mais pour valider le fait que cela ne fonctionnait absolument pas. Je m’offrais donc un de ces instruments, et l’essayais sans plus tarder. Dans un premier temps, après quelques séances de pompage de 10 minutes environ, je pouvais confirmer que certes me faisait bander instantanément, mais qu’en effet, cela ne fonctionnait pas du tout sur mes mensurations et qu’en plus c’était limite douloureux. Pourtant, devenu passionné du sujet, je me demandais par quel prodige, je trouvais des photos d’hommes avec des bites énormes et parfois difformes, manifestement gonflées, je me demandais quel était le trucage, des injections salines ??

Mais un jour, en épluchant  un forum sur le sujet, je trouvais enfin le mode opératoire, un garçon expliquait, photo gargantuesques à l’appui, qu’il avait obtenu ce résultat en s’endormant un soir la bite dans le tube, et qu’il ne pompait sa bite jamais moins d’une heure, qu’il ne servait à rien de faire un vide trop important car cela était douloureux, pouvait provoquer au minimum des pétéchie (sang accumulé sous la peau faisant des lésions rougeâtres) et même des troubles de l’érection ou de l’éjaculation pour ceux qui se pompent les testicules. Je me décidais donc à garder ma verge plus d’une heure sous pression, et le résultat fut là. J’étais encore loin de ce que je pouvais visionner sur le Net et découvrais même qu’il existait un Championnat du Monde dans ce domaine, mais je découvrais que le développeur, ça marche vraiment. Ma bite avait pris à sa base un bon centimètre de circonférence, et le prépuce (et oui j’en ai un) était bien gonflé. Elle était plus rose, et si elle était effectivement plus sensible, elle ne m’était absolument pas douloureuse, cette sensibilité, c’était plutôt dans ma tête je crois, mais cette sensation de pouvoir influer ainsi sur le calibre de mon chibre, je trouvais cela formidable, et je n’ai qu’une hâte, celle de recommencer.

Dans le mode opératoire, il était expliqué qu’il valait mieux débuter par un tube de taille moyenne, puis au fur et à mesure passer à des tubes plus grands, donc à bientôt pour de nouvelles aventures...