Vendredi 14 septembre
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Un des premiers saunas que j’aie testé est : Le Cercle, Avenue de la Gloire à Toulouse, c’était entre 1993 et 1997 et à l’époque j’y suis allé des dizaines de fois. J’y
ai réalisé bon nombre de mes phantasmes d’adolescent,

l'accueil par André (le patron) ou Marie-Ange (décédée dans un accident de voiture en
1997) était chaleureux et plein d'humour et de gentillesse.
Ce sauna très vaste (plus de 1000m² ) se nomme désormais Le Privé, il y a un rez de chaussée avec une grande piscine intérieure, et deux immenses bains à bulle (au moins
25 personnes y rentraient) dans des pièces faiblement éclairées ainsi qu’un hammam et un sauna. A l’étage il y a d’autres cabines de sauna ainsi qu’une vingtaine de « coins câlins » dont certaine
avec circuit vidéo diffusant des films X, d’autres aux murs percés de glory holes (trous dans les murs à hauteur du sexe d’un homme) et certains dont les murs sont tapissés de miroirs, sans
compter les équipements minimums d'un club libertin (Croix, cage...).
Dans ce sauna, très fréquenté de mon temps, où j’ai passé bon nombre de soirées avec une trentaine de couples actifs et autant d’hommes seuls, je me suis fait pas
mal d’amis couples avec qui nous nous retrouvions aussi chez moi ou chez eux pour des sauteries sympathiques à trois, cinq ou plus. Toutes les bonnes soirées

débutaient
invariablement par une trempette dans un des immenses bains à bulle, il était facile de s’asseoir près d’un couple et rapidement des mains circulaient dans la douce pénombre de la salle, le
clapotis des bulles et la caresse des remous. Bien qu’il arrivait que l’action se déroule dans le bain, le plus souvent c’est là que se négociaient par regards et clins d’œil, les étreintes
futures qui auraient lieu dans les salons. Mais comme pour les tortues sur les plages des Galapagos, bon nombre d’hommes ne franchissaient pas le cap du jacuzzi, jouissaient dans l’eau (parfois
trop chlorée) et disparaissaient aussi vite qu’ils étaient arrivés au grand dam de ces dames qui manquaient souvent d’hommes vaillants en fin de soirée. Moi, en général, j’étais des derniers à
partir (endurance quand tu nous tient), et je me souviens de soirées ou je m’étais mélangé avec au moins une dizaines de femmes différentes.
Quand je pense à cet endroit, des centaines d’images torrides me reviennent, un soir par exemple, il y avait peu d’hommes, et je me suis retrouvé complice de trois
couples, après le traditionnel passage au bain au cours

duquel j’avais fraternisé avec l’un des couples, nous sommes allés tous les sept dans
une cabine et tandis que les hommes discutaient, ces dames avaient décidé de me faire la fête. Rapidement, j’ai été lapé par deux bouches caressé de toutes parts par une autre à qui je léchais le
minou tout en rentrant des doigts frénétiques dans les orifices vacants et poisseux de mes tortionnaires. Puis au bout d’un certain temps, elles me firent m’allonger sur le dos et sont venues à
tour de rôle s’empaler sur moi, tandis que je léchais et doigtais à tout va, cela à duré une éternité. Intrigués de ma résistance, et émus du spectacle, au bout d’une bonne heure ou plus de ce
traitement inhumain, ces messieurs décidèrent de me prêter main forte, et j’ai eu le plaisir d’être au cœur de cette mêlée durant laquelle aux fellations à deux bites ont succédé des doubles
pénétrations interminables et des positions indescriptibles au cours desquelles les orgasmes multiples de ces dames ont précédé d’inoubliables éjaculations pour les messieurs.
Dommage que la liste de mes orgasmes dans ce sauna soit interminable, combien de femmes m’ont-elles fait jouir là-bas, je ne le sais pas, mais à chaque fois que j’y
repense, l’effet est le même, inexorablement je bande et j’ai beaucoup de mal à faire passer cette érection.
J'y suis retourné depuis qu'il se nomme le Privé, c'est toujours aussi bien, je n'y suis resté qu'un peu plus d'une heure, entre 1h30 et 3h00 du matin, car mon emploi du
temps ne me permettait pas de m'y éterniser. A

l'entrée, j'ai discuté 5 minutes avec l'hotesse qui m'a fait part d'un règlement qui n'existait pas du temps du Cercle, plutôt contraignant pour
les hommes seuls, mais très bien pour éliminer certains indésirables dont la prostitution devrait suffire à combler leurs désirs. Puis, le temps de me mettre en tenue, comme il était tard, après
une petite douche, je suis allé directement arpenter les couloirs interminables, et passant devant une porte entr'ouverte, une voix douce m'a interpellé me demandant si je ne voulais pas la
rejoindre. Je ne me suis pas fait prier, et rapidement, j'étais avalé jusqu'à la garde dans un gosier avide tandis qu'un homme butinait cette partenaire habile. Ensuite nous avons fait un 69,
elle dessus, tandis que son homme la prenait par derrière, et pour finir nous l'avons honorée à deux par ses deux orifices... Au bout d'un long moment de cavalcade, elle nous a prié de nous
retirer et de lui jouir sur les seins, cette demande était inattendue, et j'ai un peu tardé à m'épancher sur sa jolie poitrine. Ils souhaitaient me revoir, mais comprenant que je n'étais
désormais plus qu'un touriste dans la ville rose, c'est avec quelques regrets que nous nous sommes séparés.